Maxime Castillo, Champion de bodyboard et le CBD

par | Sport

Dos, épaules, cou… “En bodyboard, on ramasse un peu partout”, sourit Maxime Castillo, champion du monde et d’Europe de la discipline. Et adepte du CBD. Il en utilise quasi quotidiennement depuis plusieurs mois pour la récupération.

Son palmarès ? C’est dès 2012 qu’il décroche son titre mondial, en junior. En 2018, il remporte le titre européen sur le circuit pro et en 2019, il termine sur la seconde marche du podium. Il se trouve aujourd’hui dans le Top 12 mondial. Sur les prochaines années, le sportif de 26 ans, résident d’Arcachon, espère atteindre de nouveau le titre européen et rêve aussi d’une victoire sur une étape du tour mondial.

Depuis quelques mois, Botanik Store sponsorise Maxime Castillo, ambassadeur d’Arcachon et du CBD. Et au-delà du bodyboard, de nombreux sportifs recherchent les effets des huiles, perles, infusions, fleurs dans notre shop. Parmi nos clients les plus représentés, les golfeurs, les adeptes de crossfit… et même des amateurs de saut en parachute. La preuve que nos produits ne contiennent pas de THC psychotrope…

Pour le blog de Botanik Store, Maxime Castillo dévoile son usage du CBD… et les bienfaits qu’il tire de sa consommation.

Comment l’idée de prendre du CBD t’est arrrivée en tête ?

C’était il y a un an environ. Je suis passé voir les gérants de Botanik Store. J’avais entendu parler du CBD comme un produit à la mode chez les sportifs… Et je pensais lancer un partenariat. Ils m’ont parlé de l’huile de CBD. J’ai décidé d’essayer. J’ai vraiment commencé à en prendre fin août, début septembre. Par le passé, j’avais déjà testé des bonbons au CBD mais sans grand effet… C’est avec les gouttes d’huile que j’ai senti un vrai effet.

Quel usage fais-tu de ces extraits de chanvre ?

J’ai un usage quotidien. Je prends de l’huile de CBD 10% de Botanik, directement sous la langue. Je n’en prends pas avant l’effort, mais le soir, une fois à la maison ou à l’hôtel, pour la récupération.

Quels effets bénéfiques du CBD as-tu perçu ?

Je dors mieux. Je m’endors plus facilement et j’ai aussi l’impression que mon sommeil est plus profond… L’amélioration du sommeil, ça a été le truc le plus pertinent pour moi. En ce qui concerne les muscles, l’huile aide à la récupération et réduit un peu le temps de réparation de certaines douleurs physiques. Mais je l’utilise bien sûr en complément d’autres pratiques de récupération.

Lesquelles par exemple ?

Je fais beaucoup de stretching, des étirements. Et j’utilise mon pistolet masseur, un appareil avec un marteau en plastique qui envoie des percussions sur les muscles. Les compléments alimentaires peuvent m’aider aussi.

Quelles parties du corps souffrent en bodyboard ?

C’est compliqué de répondre précisément… Un peu partout. On subit beaucoup de coups et de traumatismes… Dans le bas du dos notamment, le carré des lombes et le psoas me font souvent souffrir. Et on a des courbatures.

À quelle fréquence t’entraines-tu ?

Ça dépend beaucoup des conditions météo, et des conditions de vagues. Il y a des semaines où on surfe énormément… et d’autres beaucoup moins. Du coup, j’adapte mon entraînement physique à la pratique du bodyboard. Je ne me rajoute pas une séance de musculation si je surfe déjà quatre heures dans la journée. Je me fais plutôt une séance de stretching.

Et les autres champions de bordyboard ?

Sur le tour mondial, je connais deux ou trois collègues bodyboardeurs qui utilisent aussi du CBD en gouttes d’huile.